Il parait que le chocolat possède des vertus euphorisantes, voire aphrodisiaques, mais pour le moment, ça n'a pas été prouvé.La plupart des patients comparent le chocolat à un placebo mais n'en sont pas forcément dépendants.
Le risque de dépendance est faible mais si c'est le cas, le patient sera capable d'engloutir des quantités impressionnantes de chocolat en une journée, dont le principal risque sera l'obésité, et avec de plus faibles chances, le saturnisme, sauf cas génétiques particuliers sur lesquels je ne m'étendrai pas.
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